La pandémie du Coronavirus nous a pris de court. Le confinement a chamboulé nos existences, bouleversé nos routines, nos habitudes. Du jour au lendemain. Elle nous a obligés à nous inventer ou ré-inventer, malgré nous, à vivre différemment. Deux mois plus tard, l’inverse s’est reproduit, presque aussi subitement.
Entre les deux, l’incertitude. Celle la maladie, celle des nouveaux gestes, celle de l’inconnu, celle de l’avenir, celle de l’autre. Cette incertitude qui depuis, fait partie de notre quotidien. L’incertitude peut engendrer des inquiétudes, des peurs ou des angoisses, voire des phobies.
Je ne vais pas ici faire un discours philosophique ( je ne suis pas philosophe), ni une leçon de psychologie ( je ne suis ni psychologue, ni analyste, ni psychiatre), mais j’ai envie de rapporter mes observations et mes ressentis, qui n’engagent que moi.